J’ai réalisé cette œuvre en explorant les thèmes de la frontière, du patrimoine commun entre la Belgique et la France, et de l’Art nouveau comme langage partagé.
Ce qui m’a inspiré, ce sont les guéridons de cette époque, ainsi que les petits abat-jour en porcelaine translucide, suspendus au-dessus des tables de cuisine, comme on en trouvait dans les maisons.
Ces lampes étaient souvent dotées d’un voile en crochet ou en coton, destiné à adoucir la lumière et à éviter l’éblouissement. Ce voile était parfois orné de dessins de fleurs délicates.